Selon Herbosa, le DBP reconnaît le rôle du secteur des transports dans la reprise économique du pays car il s'adresse principalement aux travailleurs appartenant aux micro, petites et moyennes entreprises...
Le secteur des transports au Maroc a été (et continue d'être) gravement touché par la pandémie de Covid-19, initialement par les restrictions d'exploitation, puis par la sortie du confinement. Lors du confinement initial, le gouvernement a fermé les aéroports, les bus et
Aperçu. L'économie marocaine continue de se remettre des effets de la pandémie de COVID-19, quoique plus lentement que prévu, avec une croissance estimée à 1,9 % en 2025. La croissance de l'emploi s'est accélérée au premier semestre 2025, mais la situation du marché du travail reste difficile. La pauvreté a atteint des niveaux jamais vus depuis plus de dix ans, tandis que
Le secteur des transports est essentiel à la réduction de la pauvreté et à la prospérité : il donne accès à l’emploi, à l’éducation et aux soins de santé ; il relie les biens et services aux marchés et constitue un moteur essentiel de la croissance ; enfin, la réduction de l’empreinte carbone du secteur est cruciale pour lutter contre le changement climatique. La Banque mondiale collabore avec les pays clients pour fournir des transports sûrs, propres et abordables à tous.
L'aide publique au développement (APD) s'est élevée à 185,9 milliards de dollars en 2025, soit une révision à la hausse par rapport au chiffre provisoire de 179 milliards de dollars publié en avril, suite aux révisions de plusieurs membres du CAD. Le total de l'APD pour 2025 équivaut à 0,33 % du revenu national brut (RNB) combiné des membres du CAD.