Quatre systèmes de zones humides artificielles à flux vertical ont été installés sur le terrain afin d'étudier l'efficacité d'élimination et le mécanisme enzymatique potentiel des zones humides artificielles pour le traitement des eaux usées contenant différentes concentrations de phtalate de dibutyle (DBP). Avec des concentrations de DBP augmentées de 0,5, 1,0 et 2,0 mg/L, de bons taux d'élimination du DBP ont été obtenus, respectivement, de 62,08, 82,17 et 84,17 %.
Le phtalate de dibutyle (DBP) est couramment utilisé comme plastifiant dans divers produits ménagers. Il a tendance à s'infiltrer et à s'évaporer dans l'environnement lors de l'utilisation ou de l'élimination de ces produits. Des études sont donc menées pour évaluer ses effets toxiques et apoptotiques.
Les connaissances sur l'impact de l'exposition aux phtalates sont limitées et, par conséquent, la pertinence clinique de ces résultats reste à établir. Les phtalates les plus couramment utilisés dans les médicaments autorisés dans l'UE sont : le phtalate de dibutyle (DBP), le phtalate de diéthyle (DEP), le phtalate d'acétate de polyvinyle (PVAP) et la cellulose.
La contamination des sols par des composés organiques est une préoccupation mondiale depuis des décennies. Nous avons constaté que le phtalate de dibutyle (DBP) pouvait être dégradé sur du sable de quartz humide (QS, cristal, un constituant typique du sol) sous agitation, et que le taux d'élimination atteignait 57,2 ± 3,1 % après 8 h de réaction. L'introduction de peroxymonosulfate (PMS) et de fer zérovalent (Fe0) a considérablement amélioré la
Les plastifiants phtalates étant très nocifs pour l'organisme humain, leur utilisation est interdite dans les aliments, les médicaments et les produits de santé. Étant l'un des plastifiants phtalates les plus courants, il est urgent de mettre au point une méthode permettant de détecter la teneur en phtalate de dibutyle (DBP) dans les échantillons alimentaires.