Contexte : Cette étude a été menée pour évaluer l'éducation antidopage (AD), l'expérience en matière de contrôle du dopage et les connaissances en matière d'AD, conformément au Code mondial antidopage (Code), des athlètes universitaires burkinabés. Méthodes : Nous avons recueilli des données auprès de 514 athlètes masculins (âge moyen = 19,53 ans, écart-type = 1,13) et de 629 athlètes féminines (âge moyen = 20,99 ans, écart-type = 1,07). Nous les avons interrogés sur leur expérience en matière d'AD.
L'AMA considère l'éducation au sens large : elle englobe l'éducation des acteurs du sport en première ligne, tels que les sportifs, les entraîneurs et les parents, ainsi que l'éducation (ou la formation) des personnes travaillant au sein des organisations antidopage (OAD) et d'autres acteurs du sport propre. Le Code mondial antidopage 2025 (le Code) définit l'éducation comme suit :
L'Agence mondiale antidopage (AMA) a eu le plaisir de jouer un rôle important lors de l'édition 2025 du Séminaire international annuel antidopage pour l'Asie et l'Océanie, du 18 au 19 janvier 2025, organisé virtuellement par l'Agence antidopage du Burkina Faso (JADA) en partenariat avec l'AMA.
Dans cette étude, nous avons analysé les recherches sur la situation actuelle du dopage au Burkina Faso de 2007 à 2014 afin de rendre les activités antidopage plus concrètes. Nous avons également discuté des futures activités antidopage menées par les pharmaciens. Au Burkina Faso, le culturisme a été la discipline sportive ayant enregistré le plus grand nombre et le plus grand taux de dopage entre 2007 et 2014.
Après la promulgation de la loi sur l'enseignement scolaire en 1947, le système scolaire au Burkina Faso était principalement structuré en écoles élémentaires de six ans, collèges de trois ans,...